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L'autrice que je ne suis pas
(et l'autrice que je suis)
Bureau à domicile

À la base, "L'auteur que je ne suis pas" est une trend d'Instagram dans laquelle un auteur donne des faits sur lui en rapport avec ce qu'il n'est pas, afin qu'on puisse mieux le connaître.

J'ai voulu la faire pour le fun, mais je me suis rendu compte que j'avais beaucoup de choses à dire à mon sujet là-dessus, et que les 10 slides maximum autorisés par Insta lors d'un post ne me suffiraient pas. Du coup, je me suis dit : pourquoi ne pas le faire ici, là où je peux prendre mon temps de bien expliciter mes propos sans être limitée !

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L'autrice que je ne suis pas

 

  • Une autrice ayant fait de études littéraires

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J'ai un parcours plus scientifique que littéraire. À part ce que j'ai étudié en cours de français durant mon cursus primaire/collège/lycée (et dites vous que ça remonte à plus de 15 ans), j'ai n'ai pas beaucoup de "bagage" livresque, ni forcément un vocabulaire littéraire riche. Je ne connais pas tant de classiques que ça (et pour être franche, la littérature classique n'est pas celle qui m'attire ou qui m'intéresse le plus même si je la respecte et qu'il y a des trucs sympas). 

 

On pourrait croire que je pars désavantagée par rapport à d'autres auteurs ayant un cursus purement ou principalement littéraire. Sauf que j'estime que les études littéraires sont loin d'être obligatoires pour être auteur. Selon moi, une bonne histoire ne repose pas forcément sur la richesse et la sophistication du texte, mais plutôt sur ce qu'elle raconte, sur l'écriture de ses personnages et les émotions transmises. Et à mon avis, pas besoin d'un vocabulaire riche pour ça (encore moins si c'est pour utiliser un mot compliqué et peu utilisé dans la vie courante pour raconter ou décrire un truc simple).

 

  • Une autrice qui écrit vite

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Il m'a fallu 4 ans pour écrire Phénix Bleu (+ quelques mois pour la réécrire). Ça fait 5 ans que je suis sur Mortem Regis qui n'est toujours pas fini. Il m'a fallu deux mois pour écrire puis réécrire les 7 chapitres du Temple Grenat. Et je suis sur Neo-Tokyo Contact depuis avril/mai dernier. Voilà pour citer des exemples parmi d'autres.

 

Après, on peut légitimement se dire que si je n'avance pas aussi vite dans mes histoires, c'est parce que j'en écris plusieurs en même temps. Ce qui est peut-être vrai. Sauf que je ne peux pas faire autrement, pour la simple et bonne raison que je ne suis pas...

 

  • Une autrice qui écrit une seule histoire à la fois

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Ça m'est très compliqué de me concentrer sur une seule et même histoire durant une longue période. J'ai tendance à saturer, surtout que j'écris des histoires longues voire très longues, et ça peut me bloquer dans l'écriture. C'est pour ça que je préfère en écrire plusieurs en parallèle. Deux en même temps, de préférence. Quand je sature avec une, je bascule sur l'autre et vice-versa. Ça me permet à la fois de ne pas être "dégoûtée" de mes histoires, mais aussi de les avancer ensemble, lentement certes, mais sûrement !

 

  • Une autrice s'inspirant d'elle-même ou de son entourage pour créer ses personnages

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Beaucoup d'auteurs aiment s'inspirer d'eux-mêmes et de leurs vies pour créer leurs personnages, perso, ce n'est pas mon cas. Ou du moins, c'est pas volontaire. Alors oui, certains de mes personnages peuvent hériter de certains traits de ma personnalité. Mais ça s'arrête là. Mes personnages ne sont ni des versions idéalisées de moi-même (la plupart de mes protagonistes sont des mecs, de toute façon), ni des alter ego à travers lesquels je vis des histoires épiques, ni même des personnages dans lesquels je m'identifie spécialement. 

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J'aime créer mes personnages de toutes pièces. Bien sûr, j'ai des inspirations, mais sauf si exception, elles ne viennent ni de ma personne, ni de mon entourage. J'écris des histoires parce que j'ai envie de partager des scénarios et des personnages issus de mon imagination, et je prends soin de les travailler (ou du moins j'essaye) pour offrir des récits et des personnages à la fois à la fois divertissants, touchants, authentiques, crédibles et parfois poussant à la réflexion sur certains sujets. Ni plus, ni moins.

 

  • Une autrice perfectionniste

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Je ne considère pas le perfectionnisme comme une qualité. Au contraire : je trouve souvent que ça empêche d'avancer. Je n'ai jamais vraiment été une perfectionniste, que ce soit avec mes histoires ou IRL, partant du principe que la perfection n'existe pas. On a beau s'appliquer dans la rédaction d'un récit, il y aura toujours des personnes qui ne l'apprécieront pas, pour la simple et bonne raison qu'une même oeuvre ne plaît jamais à tout le monde. 

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Du coup, plutôt que de rester bloquée sur un chapitre parce qu'une formulation de phrase ne me plaît pas ou parce que je trouve une description pas assez poussée, je préfère avancer l'écriture de mon histoire. Ce n'est seulement qu'une fois son premier jet terminé que je vais prendre le temps d'améliorer ce qui me semble améliorable, jusqu'à aboutir à une version qui me plaît à moi en priorité. Je considère l'écriture comme un plaisir, pas comme une prise de tête visant à plaire à tout le monde (alors que c'est impossible).

 

  • Une autrice qui suit les tendances ou les modes

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Sachant que les tendances du moment tournent principalement autour de la romance plus ou moins "spicy" sous toutes ses formes (rom-com, romance historique, dark romance, romantasy et j'en passe) et des tropes chiants et redondants qui vont avec (enemies to lovers en tête...), et sachant que je n'aime pas les histoires purement romantiques, je n'ai pas DU TOUT envie de suivre cette mode.

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D'ailleurs, je ne suis pas du genre à écrire dans un domaine juste parce qu'il est le plus vendeur ou le plus consommé. J'écris surtout dans des genres et sur des tropes qui me plaisent et qui m'inspirent, peu importe s'ils sont à la mode ou non.

 

  • Une autrice qui aime sortir de sa zone de confort

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Mon domaine de prédilection, c'est l'imaginaire. En particulier la dark fantasy. Franchement, je ne me vois pas délaisser ce genre pour me mettre à écrire du contemporain, du réaliste ou de l'historique pour ne citer que ces exemples. 

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Après, je peux m'essayer à d'autres sous-genres de la fantasy, voire même d'autres sous-genres de l'imaginaire. C'est le cas de Neo-Tokyo Contact qui se déroule dans un univers sci-fi cyberpunk, contrairement à mes autres histoires qui baignent plutôt dans la dark fantasy. Même si c'est drastiquement différent, ça reste de l'imaginaire, donc ça ne me gêne pas spécialement, même si je ne suis pas autant à l'aise qu'avec ce que j'ai l'habitude d'écrire (quoi que maintenant, ça va, en vrai !). 

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Mais délaisser l'imaginaire pour écrire dans un autre genre qui ne m'attire pas spécialement, pour l'instant, très peu pour moi. À part pour la parodie, la poésie et la non-fiction.

 

  • Une autrice engagée ou militante

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Je vois de plus en plus de gens, en particulier sur des réseaux sociaux comme Instagram, clamer haut et fort que l'écriture est politique. Alors oui, peut-être. Mais perso, faire passer (ou plutôt faire avaler à grands coups peu subtils de cuillères à soupe) des messages politiques avec mes histoires n'est pas mon but premier. 

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Certes, mon côté féministe et philosophique peut transparaître à travers certaines intrigues ou certains personnages, pour citer un exemple (et c'est, la plupart du temps, nuancé en fonction des personnages concernés). Mais c'est un truc qui se fait naturellement au fil de l'écriture, pas forcément un truc planifié dès le départ. Et puis plutôt que de balancer de la moraline à la figure de mon lectorat via mes histoires, je préfère les laisser faire leurs propres avis sur les sujets concernés, quand il y en a. Ça peut d'ailleurs amener à des débats intéressants et enrichissants en commentaires.

 

  • Une autrice utilisant une même méthode d'écriture pour toutes ses histoires

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Certains auteurs sont architectes, c'est à dire qu'ils travaillent avec un plan détaillé de leur histoire. D'autres sont des jardiniers, qui écrivent au fil de l'eau, sans planification. Il y en a aussi qui sont un mix des deux et qu'on appelle paysagistes. 

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Si je me rapproche plutôt de cette troisième catégorie, il peut m'arriver d'être un peu plus architecte ou un peu plus jardinière en fonction de l'histoire et de mon mood. J'ai bien une certaine méthodologie pour écrire (méthode pomodoro, musique ou fond d'ambiance, se fixer des petits objectifs par séance, etc) mais elle n'est pas non plus figée et je ne la respecte pas tout le temps.

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  • Une autrice qui se compare aux autres

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Quand un auteur que je côtoie rencontre du succès pour ses histoires (éditées ou publiées en ligne), j'aurais plus tendance à être contente pour lui que de le jalouser. Et ce, pour une raison simple : déjà parce que c'est souvent mérité, et aussi parce que je sais qu'on n'a pas le même parcours, peut-être pas les mêmes styles d'histoire, ni les mêmes avantages ou contraintes en matière d'écriture. 

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Certes, ce genre de réussite fait envie. Ressentir ce genre de chose est complètement humain et compréhensible. Mais personnellement, plutôt que de perdre mon temps à être jalouse et à culpabiliser de ne pas rencontrer un succès similaire, je préfère l'utiliser pour avancer et travailler mes histoires qui, elles aussi, trouveront leur public et auront du succès à leur manière, si ce n'est pas encore le cas.

 

  • Une autrice qui se montre et qui partage des images de son quotidien sur les réseaux sociaux

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Funfact à mon sujet : je ne suis pas une grande fan de réseaux sociaux. Wattpad mis à part (si on le compte en tant que tel), le seul que j'utilise c'est Instagram, à la fois pour suivre certaines personnes et pour partager mes univers (et dites-vous que j'en suis pas plus fan parce qu'il pousse à miser plus sur la quantité que sur la qualité des posts). Mais Facebook, Twitter ou Tik Tok (que j'aime bien surnommer respectivement Fesses de bouc, Twister et Toc Toc), c'est niet ! Je ne sais pas si c'est parce que j'ai eu le temps de connaître l'époque où ça n'existait pas, mais j'aime pas trop ces plateformes où tout le monde déballe sa vie dans tous les sens.

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Je n'ai pas non plus envie de me montrer, ni de partager ma vie et mon quotidien sur ces réseaux. Et pas par timidité, contrairement à ce qu'on pourrait croire ! J'estime que ma tronche, ma vie privée ou tout ce qui est en rapport avec ma routine d'écriture (photos de mon setup, du cadre dans lequel j'écris, de mon matériel d'écriture, etc) n'ont rien à faire sur Internet. Je ne juge pas ces trucs nécessaires pour ce que je fais. Et si des gens ont vraiment besoin de ça pour s'intéresser/s'attacher à moi et à mes oeuvres, j'ai envie de leur dire : restez loin de moi et remettez-vous en question.

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L'autrice que je suis

 

  • Une autrice passionnée par ses histoires et ses personnages

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Comme n'importe quel auteur, j'aime parler de mes histoires et de mes personnages. J'aime écrire là-dessus, partager certains anecdotes au sujet de leurs créations, écrire des petites scénettes bonus (hors fiction) à leur sujet et je prends même du plaisir à relire certains chapitres voire même certaines histoires déjà écrites. Il peut même arriver de rêver d'eux, pour vous dire !

 

  • Une autrice qui expérimente des nouvelles choses tout en restant dans son domaine de prédilection

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Comme dit plus haut, mon domaine de prédilection est l'imaginaire. Et certains lecteurs l'auront remarqué : certains thèmes et tropes reviennent souvent dans mes histoires. Mais ils sont traités différemment selon les personnages concernés, ce qui fait que mes histoires, malgré qu'ils partagent pas mal de thèmes communs, restent tout de même différentes. Ne serait-ce que le thème de la rédemption ou de la discrimination, par exemple. Ce sont deux thèmes sont plus où moins présents dans Mortem Regis et Phénix Bleu (la discrimination est même présente dans le Temple Grenat). Pourtant, les personnages concernés dans ces histoires sont différents, ce qui fait que ces deux thèmes sont traités différemment d'une histoire à l'autre.

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Ou même au niveau des relations plus ou moins romantiques : dans une histoire, il y a une bromance ambiguë. Dans une autre, un amour sincère qui se développe au fil des chapitres mais qui reste compliqué à cause du contexte dans lequel il évolue. Dans une autre encore, la relation amoureuse est déjà en place dès le début du récit, et j'en passe ! On dirait pas comme ça, mais ce sont des paramètres qui changent pas mal de choses, niveau développement des personnages et de la relation !

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Je pourrais continuer la liste, mais je pense que vous comprenez l'idée !

 

  • Une autrice qui peut écrire autre chose que des romans

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Autant niveau roman, je reste pour l'instant dans le domaine de l'imaginaire, autant je peux écrire d'autres choses que des romans. Bah déjà, ce blog qui regroupe mes pensées sur certains sujet en est un bon exemple, vu que c'est de la non-fiction. Je peux également écrire des essais, mais aussi des fanfictions, de la poésie (que ce soit de la poésie classique ou des haïkus) ainsi que des paroles de chansons pour une musique instrumentale. J'ai même rédigé un mode d'emploi pour l'utilisation d'un appareil à destination de mon père, pour vous dire !

 

  • Une autrice qui aime interagir avec ses personnages

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Je pense que cet aspect n'étonnera pas ceux qui me suivent depuis un moment. Hors histoires, j'aime bien faire intervenir mes personnages (notamment dans mes Bordel-lands sur Wattpad, sur mon blog et même sous certains post Instagram). Je trouve que ça rajoute un côté fun et interactif. Et c'est une façon pour moi d'apprendre à mieux connaître mes personnages.

 

  • Une autrice patiente qui avance à son rythme

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Ça rejoint un peu ce que je dis plus haut dans la partie "je ne suis pas une autrice qui écrit vite". Il faut dire aussi que j'aime bien prendre mon temps pour savourer mon histoire et ses personnages. Je suis quelqu'un qui m'attache très vite à mes personnages (en particulier les principaux) et je prends un certain plaisir à les voir évoluer à travers les intrigues que je leur réserve. Si je rushais l'écriture de mes histoires, je pense que ce plaisir serait moindre vu que je n'aurais pas eu le temps de profiter d'eux et d'apprendre à les connaître. En dehors du fait que j'écris plusieurs histoires en même temps, je pense que mon envie de voir mes personnages prendre leur temps d'évoluer joue aussi sur mon rythme assez lent.

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Je suis aussi quelqu'un qui privilégie la qualité à la quantité. Je préfère prendre mon temps pour pondre des histoires peu nombreuses mais que je juge plaisantes, complètes et authentiques plutôt qu'enchaîner une infinité d'histoires bâclées et sans saveur. (Après, je pense que le fait d'écrire majoritairement des histoires sur plusieurs livres/tomes joue aussi là-dessus...)

 

  • Une autrice préférant écrire des histoires sombres avec de gros enjeux et pas mal d'action.

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Ouais. J'ai toujours été comme ça, et à moins d'un changement radical de mon côté, je ne suis pas sûr que cet aspect évoluera. Bien sûr, je pense m'essayer à d'autres styles d'histoires plus légères (toujours avec un minimum d'action, tout de même), mais l'envie d'écrire une histoire sombre et avec des enjeux élevés reviendra toujours. Parce que j'aime ça ! Je me vois mal écrire un récit hyper léger où quasiment rien de grandiose ne se passe. Déjà que j'ai du mal à en lire... ^^'

 

  • Une autrice flemmarde

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Ça, je plaide coupable et j'assume complètement ! Ce n'est pas tout les jours que l'envie d'écrire est présente, même si j'ai du temps devant moi. Et quand elle est là (et que j'ai du temps), je n'ai pas spécialement l'énergie pour m'y mettre. 

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Après, j'essaye de ne pas trop abuser car je sais que mes histoires n'avanceront pas si je ne les écris pas. D'où l'intérêt d'une bonne organisation entrecoupée de pauses, mais aussi d'écrire des histoires et des personnages qui me donnent vraiment envie et qui me motivent.

 

  • Une autrice qui aime troller ou faire tourner ses lecteurs en bourrique

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Je plaide aussi coupable ! Il peut m'arriver d'écrire des choses auxquelles mes lecteurs ne s'attendent pas (on se souviendra de ma fanfic "Link x Reader", hein ? XD) 

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Et même dans mes histoires, quand des lecteurs émettent des théories, j'aime bien les faire tourner en bourrique, les faire douter, et parfois les mener sur de fausses pistes pour mieux les surprendre ensuite ! C'est marrant et satisfaisant à faire, et les réactions sont parfois hilarantes.

 

  • Une autrice assez critique sur les fictions qu'elle consomme

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Chose que je n'étais pas forcément avant. Je pense que mon esprit critique vis-à-vis de la fiction en général a drastiquement évolué depuis l'instant où je me suis mise à l'écriture de roman originales, voire même un peu avant. 

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Je ne me contente plus de dire que j'aime ou n'aime pas une histoire. Même si j'ai tout de même un avis là-dessus, je prends quand même le temps de déceler les forces et les faiblesses d'une oeuvre. Bien sûr, selon mon ressenti ! Je n'ai pas la science infuse, et ce que je considère comme une qualité peut-être perçu comme un défaut chez d'autres (et vice-versa). Ça me permet aussi de détecter ce que je souhaite retrouver dans mes histoires (niveau traitement de personnages, intrigues, etc), et surtout ce que je souhaite éviter !

 

  • Une autrice qui se challenge de temps en temps

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Quoi que ça dépend du challenge. Le principal que je fais c'est le Nanowrimo (et encore, je ne respecte pas sa règle des 50 000 mots sur une même oeuvre en un mois), mais je fais en sorte que le challenge soit atteignable de façon posé. Il ne s'agit pas non plus de me pousser dans mes derniers retranchements avec des objectifs trop compliqués à atteindre. Pour dégoûter de l'écriture, il n'y a pas pire.

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Après, il y a des challenges que j'évite : genre, m'imposer une liste de mots à insérer dans mes histoires ou écrire des textes fictionnels courts sur des thèmes qui n'ont absolument rien à voir avec mes projets actuels. C'est simple : ce genre de challenge ne m'intéresse pas, en plus de me faire perdre le peu de temps que je peux dégoter pour avancer mes histoires. 

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Autant je n'ai aucun soucis à m'imposer un nombre de mots à atteindre dans un temps imparti, autant je n'aime pas me faire imposer des trucs sur le fond de mes récits.

 

 

Voilà pour cette partie qui, j'espère, vous aura plu !

Et vous ? x)

- Déjà, est-ce que vous êtes auteur/autrice ?

- Si oui, quel genre d'auteur/autrice que vous n'êtes pas ?

- Et quel genre d'auteur/autrice vous êtes ?

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